20.09.2018Les primes d’assurance-maladie, qui ont augmenté beaucoup plus vite que les salaires et les pensions ces dernières années, constituent un problème majeur pour de nombreuses personnes. Les personnes à faibles et moyens revenus sont particulièrement touchées. C’est pourquoi le PS prévoit de lancer une initiative qui plafonnerait cette charge à un maximum de 10 % du revenu disponible des ménages, et qui prévoit une harmonisation des réductions de primes entre les cantons.
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Au cours des 20 dernières années, les primes d’assurance-maladie ont plus que doublé. Toutefois, les salaires réels et les pensions n’ont, quant à eux, guère augmenté au cours de cette période. La question de savoir comment payer les primes d’assurance-maladie est devenue un fardeau existentiel pour de nombreux ménages. Cela est d’autant plus vrai que non seulement les primes augmentent, mais que, dans de nombreux cantons, des subventions de primes sont également réduites. Avec son initiative d’allègement des primes, le PS veut limiter le fardeau que représentent les primes. Aucun ménage ne devrait avoir à consacrer plus de 10 % de son revenu disponible aux primes d’assurance-maladie.
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14.09.2018Le financement du système de santé suisse atteint ses limites. La concurrence forcée par les groupes d’intérêts et les partis bourgeois, ainsi que la recherche du profit qui y est associée, entraînent une augmentation constante des coûts. C’est pourquoi le PS se félicite de l’intention du Conseil fédéral de prendre des mesures efficaces pour limiter la croissance des coûts. Le principal problème pour de nombreuses personnes reste les primes d’assurance-maladie, qui augmentent beaucoup plus vite que les salaires et les pensions. C’est en réponse à ce constat que le PS prévoit de lancer une initiative populaire visant à limiter les coûts des primes à un maximum de 10 % du revenu disponible, par ménage.
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06.07.2018Dans la Commission de la santé du Conseil national (CSSS-N), les bourgeois-e-s sont responsables de l'augmentation rapide des coûts de la santé. A la demande du lobby des assurances maladies, ils retardent le débat sur la réglementation de l’admission des fournisseurs de prestations dans le secteur ambulatoire, bien que la solution actuelle provisoire expire courant 2019. La gestion de l’admission par les cantons est l'une des mesures les plus efficaces pour maîtriser les coûts dans le système de santé. Le PS Suisse s'engage donc à tout faire afin qu'une solution définitive et permanente de gestion des autorisations puisse entrer en vigueur le plus rapidement possible.
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12.05.2017Une fois encore, les élu-e-s bourgeois de la Commission de la sécurité sociale et de la santé publiques du Conseil national (CSSS-N) ont choisi de suivre aveuglément le lobby des caisses maladie, aux dépens et au mépris des assuré-e-s.
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07.04.2017La Commission de la santé du Conseil national (CSSS-N), dominée par des représentant-e-s des caisses, mène un nouveau combat contre les personnes malades. Ainsi, celui qui n’opterait pas pour un modèle standard de franchise à 300 francs, n’aurait le droit de modifier cette dernière que tous les trois ans. Ainsi, les franchises plus élevées, considérées comme des modèles spéciaux, ne seraient attractives que pour des personnes en pleine santé. La suite est claire : de futures désolidarisations sur le dos des personnes souffrant de problèmes de santé et encore plus de possibilités visant à permettre une sélection des risques pour les caisses.
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08.09.2016La Présidence du PS Suisse a présenté aujourd’hui, au cours d’une conférence de presse, son document de travail sur la santé. Ce dernier est destiné à apporter des réponses concrètes à des problématiques actuelles, telles que l’augmentation des coûts ou l’explosion des primes. Dans le domaine de la politique de la santé en Suisse, la tendance à la concurrence et à la privatisation s’est fortement renforcée. Pourtant le domaine de la santé est un service public. A travers son document de travail sur ce sujet, le PS Suisse tente d’y mettre un peu de clarté en se basant sur une recherche menée par l’économiste Anna Sax. Par une analyse de la situation actuelle, le PS propose aujourd’hui des solutions concrètes.
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31.08.2016La Commission de la sécurité sociale et de la santé publique du Conseil des Etats (CSSS-E) veut, à l’avenir, prolonger de trois ans les contrats d’assurance-maladie pour les modèles d’assurance alternatifs. Cela signifie qu’on ne pourra changer de caisse que tous les trois ans, et que les franchises ne pourront pas être abaissées. Cette régulation, décrite comme un « renforcement de la solidarité », est tout simplement cynique.
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08.07.2016Depuis de nombreuses années, le PS se bat pour une augmentation des subventions de primes d’assurance-maladie. En ce sens, le PS salue donc la volonté de la Commission de la sécurité sociale et de la santé publique du Conseil national (CSSS-N) d’augmenter les allègements consentis pour les primes des mineurs de 50% à 80%. Dans le même temps, le PS est contraint de critiquer la mise sur pied d’une nouvelle catégorie d’âge, qui pourrait renforcer la désastreuse sélection des risques opérée par les caisses maladie.
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13.05.2016La Commission de la sécurité sociale et de la santé publique du Conseil national (CSSS-N) a aujourd’hui décidé de supprimer les compétences des cantons et de la Confédération en matière de tarifs des prestations comprises dans l’assurance obligatoire des soins. Les différences de tarifs devraient à l’avenir être décidées par des tribunaux arbitraires mis en place par les caisses-maladies et leurs partenaires. Les patient-e-s et assuré-e-s n’auront plus rien à dire et une augmentation des coûts de plusieurs milliards devra être assumée par toutes les personnes assurées.
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