18.02.2015
Les réactions du ministre de l’économie, Johann Schneider-Ammann, depuis l’annonce-choque de la BNS du 15 janvier, laissent perplexe et démontrent une certaine impuissance. Au lieu de mettre en œuvre, avec la BNS, les options pour un affaiblissement du cours du franc ou démanteler les cartels d’importation, le conseiller fédéral propose un placebo se chiffrant en centaines de millions. Ainsi, le lobby « Suisse Tourisme » pourra profiter annuellement de 220 millions de francs. Comme si le problème du franc fort pouvait se régler à coups de millions de francs de subventions pour de la publicité en faveur du tourisme. Continuer