Des bureaux de poste et des guichets de chemin de fer sont fermés, des lignes de transport public supprimées, la population est insatisfaite de la réduction de plus en plus importante du service public. En outre, les organes de gestion des entreprises de service public ont parié sur la confiance de la population. La croyance unilatérale dans le marché ainsi que l’augmentation de la valeur des actions s’avèrent imprudentes. Et ce, en particulier pour des entreprises comme la Poste, les CFF et Swisscom. La Confédération, en tant que propriétaire ou actionnaire majoritaire, doit enfin reprendre ses responsabilités, afin de garantir le service public pour l’ensemble de la population.
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